Elle pique la seringue

SUD FPA PACA dans la lutte toute l’année et pas seulement le 25 juin !

Elle pique la seringue

Parce que SUD FPA réaffirme sa position sur le maintien d’une AFPA Nationale et non régionale, un véritable service public de la Formation Professionnelle sur l’ensemble du territoire par un retour à la subvention.

Parce que SUD FPA refuse d’opposer les salariés d’une Région à ceux d’une autre Région.

L’état actuel de l’AFPA n’est pas dû aux salariés mais bel et bien à l’arrogance et aux mauvais choix de ses dirigeants.

Parce que SUD FPA refuse d’estimer le prix de la souffrance au travail (1 000€) Pour qui ? Pour quoi ? Pour tous ?

Non, pas de prime à la suractivité ! Non à la souffrance au travail !

Que veut SUD FPA ?

SUD FPA demande le retour à une pratique d’augmentations collectives, l’arrêt du gel des salaires, le rattrapage des inégalités pour les classes de 1 à 12 et la fin du clientélisme par les augmentations individuelles.

SUD FPA dénonce une absence totale de gestion prévisionnelle des compétences et les obscures pratiques de recrutement et de promotion sur certains emplois : pas d’affichage, pas de prise en compte du parcours ni de la qualification des salariés… Discrimination positive par quelles pratiques et sur quels critères ?

SUD FPA a toujours dénoncé le poids de la hiérarchie ( l’afpa traine un boulet, sa hiérarchie)

Une augmentation de 10,50 % des dix plus gros salaires de PACA entre 2012 et 2014.

Des hiérarchiques trop nombreux qui gonflent la masse salariale et grèvent les résultats si durement atteints. De plus en plus de hiérarchiques pour de moins en moins de personnel de terrain.

Non, l’ère Caïla n’est pas terminée !!

SUD FPA dit non à la destruction des emplois prévue par le plan de refondation Barou : 12 000 salariés en 2006, 8 000 aujourd’hui, 5 500 dans 3 ans !

En PACA, c’est moins de formateurs, moins de personnel d’appui pour de plus en plus de stagiaires. Des pressions toujours plus fortes sur les personnels administratifs.

Des assistantes techniques qui doivent subir une mise à l’épreuve de 5 ans en catégorie 6 pour espérer passer en catégorie 7.

Une aberration signée Philippe Caïla (tiens, encore lui), sur laquelle la direction s’accroche bec et ongles.

Ne nous trompons pas de combat

OUI A UNE AFPA NATIONALE, A LA DEFENSE DE NOS EMPLOIS, A DES CONDITIONS DE TRAVAIL DECENTES ET PLUS JUSTES

Elle pique la seringue

5 juillet 2015 6:14 Publié par